la loi nous autorise à ne pas faire vacciner nos
enfants
pas de vaccin égal pas de maladies pas de
handicaps
les vaccins génèrent autisme les vaccins génèrent maladies
auto immunes les vaccins génèrent dyslexie les vaccins génèrent dyspraxie les vaccins génèrent retard mental les vaccins génèrent méningites
les vaccins génèrent morts subites du nourrisson les vaccins
génèrent leucémie de l'enfant
Aucune obligation vaccinatoire en France : la loi le dit !
Transmettre rapidement à tout le monde en France et en Europe, par
tous moyens et sur tous supports; transmettre à toutes les jeunes mamans qui ne veulent pas donner par les vaccins un handicap ou une maladie à leurs enfants,
sauvegardez et donnez ces textes à tout médecin ou institution dont écoles, tentant de faire pression au sujet d'une "obligation vaccinale" car il n'y en a pas, ces textes-ci
faisant autorité.
Des textes de loi font référence :
Si on veut vous obliger, vous inciter même à faire vacciner vos enfants, même si on fait pression pour son entrée à l'école, vous devez savoir que vous avez la loi et
toutes les lois pour vous, pour refuser tout acte vaccinatoire sur l'enfant sur lequel vous avez tutelle, et tout acte vaccinatoire sur vous-même, bien
entendu.
La loi Kouchner (merci Hélène de le rappeler) stipule que la vaccination est un acte
médical et non pas administratif, et qu'à ce titre, il doit être librement consenti par l'enfant lui-même ou par son responsable légal.
Force est de constater que nos droits ne sont pas respectés, lorsqu'on fait pression sur les
enfants, via la Caisse d'Allocations, du moins il y a quelques années, qui soumettait peu ou prou à certains stades, le versement de
l'allocation à la fourniture de certificats de vaccination du nourrisson; aux jeunes mamans de me dire, si les choses ont changé sur ce point. Nos droits ne sont pas non plus
respectés lorsque la ministre de la santé Bachelot, par ailleurs l'une des principales actionnaires de Sanofi Avantis produisant les vaccins (détentrice de12 pour cent de titres à
l'époque) voulut dans un premier temps obliger à la vaccination contre une illusion pandémique H1N1, puis sous la pression dont celle des gendarmes qui ressortirent les textes du
Code de la Santé Publique, fortement inciter à se faire vacciner, avec forces messages dramatisant à outrance, passés par voie médiatique écrite et audio-visuelle. Lorsque de si haut on méprise nos lois et nos libertés, lorsqu'on amène par pression des gens à prendre les plus grands risques, car il y eut de ce fait
énormément de fausses-couches, alors, il y a crime et non respect de nos libertés.
Chaque jour en France, des parents se voient rappeler "qu'ils
doivent faire faire un vaccin à l'enfant", ou un rappel de vaccin; la façon dont tout cela est fait et dit, met la pression et
tend à faire croire qu'il y a obligation vaccinatoire, or, aucun et je dis bien absolument aucun vaccin, ne peut être exigé, y
compris lors de l'inscription à l'école.
Moi-même victime de cette fausse obligation lors de ma petite enfance
(vaccin anti-variolique, fait quatre ou cinq fois avec tous les risques que cela suppose, ce vaccin ne prenant pas sur moi), moi-même refusée à l'école de ce fait,
durant deux ans, je vois que depuis les années soixante, rien n'a changé : on continue de mettre la pression sur les parents, en dépit de toutes nos
lois.
Voici donc pour tous les parents, un rappel des textes
et jurisprudence qui vous dispense de faire effectuer le moindre vaccin à vos enfants, si tel est votre choix. Pour ma part, dans les années 80, je fis dévacciner mes enfants
par voie homéopathique. Vous pouvez imprimer le rappel des textes suivant, en plusieurs exemplaires, en donner à vos connaissances, et en garder plusieurs, de manière à le fournir à
vos médecins et directeurs d'écoles et autres établissements qui ne voudraient pas comprendre que la loi est pour vous et votre liberté de refuser les vaccins.
Concernant le vaccin anti tétanique, si vous avez la moindre plaie, même une piqûre d'épine de
rose, nettoyer tout de suite avec du savon de Marseille, du vrai, à même la plaie ! Les bactéries n'y résistent pas. Au cas où juste après un accident occasionnant une plaie en
profondeur, il est possible de recevoir le vaccin à ce moment là.
Ne faîtes pas encourir par les vaccins, à vos enfants, les risques avérés d'être
autistes, dyslexiques, dyspraxiques, leucémiques et j'en passe ! Il est prouvé que les enfants non vaccinés ont dans notre pays, une bien meilleure
santé.
Textes de loi et jurisprudence concernant notre
liberté face aux vaccins :
Le
9 juillet 2002, la Cour européenne des droits de l’homme a précisé, dans une décision
concernant une ressortissante italienne, que la vaccination obligatoire, en tant que traitement médical non
volontaire, constituait une ingérence dans le droit au respect de la vie privée et familiale garanti par l’article 8 de la Convention
européenne.
En France, il
ne peut exister d’obligation légale de vaccination.
Toute obligation serait
anticonstitutionnelle :
Art. 3
de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, du 10-12-1948 :
«Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa
personne».
Toute obligation serait contraire au
nouveau Code civil qui reconnaît le
:
«principe du respect de
l’intégrité du corps humain».
Toute obligation serait en faute avec :
L’article 36 du Code de Déontologie
Médicale qui précise que
:
«Tout acte médical
requiert le consentement libre et éclairé des personnes».
Toute obligation serait contraire
aux :
Arrêts de la Cour, du 25-02 et 14-10- 1997 stipulant :
- Information des patients :
«Les praticiens doivent être en mesure de prou ver qu’ils ont fourni au patient une information loyale, calire, appropriée et exhaustive au moins sur les risques majeurs, et la plus complète possible sur les risques
légers. Cette information a pour but de permettre au patient de refuser la vaccination proposer en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices
escomptés.
Toute obligation serait annulée
d'office par la : Loi du 04 mars 2 002, n°
2 002-303 Art 11
:
Chapitre 1er, modifiant l’Art. L 1 111-4 du chapitre 1er du titre 1er du livre premier de la première partie du Code de la santé publique :
«Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans
le consentement libre et éclairé de la personne, et ce consentement peut être retiré à tout moment. ",